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12 mars 2021 5 12 /03 /mars /2021 09:42

Des milliers de mégalithes phalliques jalonnent le sud de l’Éthiopie - document ARTE

https://www.arte.tv/fr/videos/080100-000-A/ethiopie-le-mystere-des-megalithes/

 

 

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4 mai 2020 1 04 /05 /mai /2020 06:19

Deux représentations de la trajectoire du soleil :

- le char solaire de Trundholm (XVe siècle avant J.-C).

le cheval d’Uffington, gravé sur une colline crayeuse du sud de l'Angleterre (plus de 3000 ans).

Sources : Sciences et Avenir et Antiquity : "The Uffington White Horse geogplyph as sun-horse", vol. 91, pp.406-420.

 

 

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16 avril 2020 4 16 /04 /avril /2020 19:24
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28 décembre 2016 3 28 /12 /décembre /2016 08:37

L’épilinguistique ou l’interprétation erronée de la loi du 9 décembre 1905 « concernant la séparation des Eglises et de l'Etat » et du principe de laïcité auxquels pourraient être ajoutés les abus de langage à propos de l’égalité, de la liberté et de la démocratie exige un éclaircissement in textus.

 

 

la loi 1905 : pas de liberté religieuse

 

La première erreur est de réduire la laïcité à la loi de 1905 qui concerne « la séparation des Eglises et de l'Etat »* ; la seconde erreur est de déduire à partir de l’article 1 qu’il existe une liberté religieuse. Ces abus sont pourtant fréquents comme en témoigne l’article de E. Bastié et G. Perrault dans le Figaro du 14/09/2016. Les journalistes du Figaro interprètent les articles de la loi (qu’ils citent par ailleurs mais sans les analyser) au prisme de l’actualité et du sens commun. Ils écrivent : « D'inspiration libérale, la loi de 1905 débute par la consécration de la liberté religieuse », ce qui est faux.

 

■ art. 1 de la loi de 1905 « concernant la séparation des Eglises et de l'Etat » : La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l'intérêt de l'ordre public.

La liberté de conscience garantit aux citoyens le libre choix de leur croyance ainsi que la pratique d’un culte non pas librement mais dans un espace légal de « restrictions » comme le signale la deuxième partie : la République « garantit le libre exercice des cultes sous (…) restrictions ». D’autre part si « le libre exercice » d’un culte est consenti, il n’est consenti qu’au nom de la liberté de conscience, non d’une liberté religieuse. Si le législateur formalise un champ c’est celui de la pensée (la conscience) non de l’expression et du libre exercice dès lors qu’il n’est pas soumis à d’autres injonctions que celle de la conscience. L’article 1 ne libéralise donc pas l’expression religieuse.

Les restrictions concernent l’Etat et les Eglises, autrement dit le système législatif d’une part, d’autre part les personnes qui président les cérémonies religieuses. Les fidèles, quant à eux, ne font pas l’objet des restrictions de l’article 2 concernant l’Etat, ni de l’article 35 concernant les Eglises i.e les ministres des cultes.

 

■ art. 2 de la loi de 1905 « concernant la séparation des Eglises et de l'Etat » : La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte.

Si l’Etat, comprenant les collectivités territoriales, ne peut subventionner une association religieuse via le versement de salaire, le financement de la construction d’un édifice, ou le paiement de frais de fonctionnement (suite de l’art. 2), il ne peut non plus suggérer une préférence et a fortiori contraindre les citoyens dans leur choix. Dans la mesure où « liberté de conscience » prime, la loi opte aussi bien pour un choix religieux qu’un choix athéiste.

 

■ art. 35 de la loi de 1905 « concernant la séparation des Eglises et de l'Etat » : Si un discours prononcé ou un écrit affiché ou distribué publiquement dans les lieux où s'exerce le culte, contient une provocation directe à résister à l'exécution des lois ou aux actes légaux de l'autorité publique, ou s'il tend à soulever ou à armer une partie des citoyens contre les autres, le ministre du culte qui s'en sera rendu coupable sera puni d'un emprisonnement de trois mois à deux ans, sans préjudice des peines de la complicité, dans le cas où la provocation aurait été suivie d'une sédition, révolte ou guerre civile.

Sont punis d’emprisonnement les ministres des cultes qui tiendraient des propos provocateurs ou incitant à prendre les armes autrement dit ceux qui appelleraient à la « sédition, révolte ou guerre civile ».

L’épilinguistique qui fait état d’une prétendue liberté religieuse au lieu d’une « liberté de conscience » et d’un « libre exercice des cultes (…) sous restriction » a ouvert la boîte de Pandore. Puisque il est entendu que le choix religieux et la pratique religieuse sont libres – auxquels s’ajoutent une seconde épilinguistique sur le droit à la liberté d’expression – les signes confessionnels ont commencé à s’afficher dans les lieux publics. Ce fut le moindre mal d’une lente et longue perversion de la loi de 1905.

 

Exemple d’un amalgame par l’Education nationale

 

 

Témoin d’un amalgame entre la loi de 1905, la laïcité et la neutralité à l’école, une page sur le site du ministère de l’éducation qui mélange lois et dogmatisme. Alors même que la loi 1905 ne contient pas le mot laïcité, il est écrit dans l’introduction : « L'importance de la laïcité dans les valeurs scolaires républicaines a été accentuée par la loi du 9 décembre 1905 instaurant la laïcité de l'État » ; ce qui laisse penser que la loi de 1905 légiférait sur la laïcité de l’Etat et a fortiori à l’école. 

Pour définir la neutralité religieuse à l’école, il aurait été plus exact de rappeler que la loi de 1905 garantissait un enseignement laïque mais par extension, puis faire clairement référence à la loi du 15 mars 2004 au lieu d’un amalgame historico-doctrinaire.

 

■ art. 1 de la loi du 15 mars 2004 : « Dans les écoles, les collèges et les lycées publics, le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit. »

En dépit de l’interdiction des signes ou tenues confessionnelles ostensibles, nul ne s’étonne aujourd’hui que l’article 30 de loi de 1905 ait été abrogé par l’ordonnance du 22 juin 2000.

 

■ art. 30 de la loi de 1905 (abrogé) : Conformément aux dispositions de l'article 2 de la loi du 28 mars 1892, l'enseignement religieux ne peut être donné aux enfants âgés de six à treize ans, inscrits dans les écoles publiques, qu'en dehors des heures de classe.

L’abrogation de l’article 30 permet aux écoles confessionnelles sous contrat avec l’Etat de gérer des équipes administratives et pédagogiques rémunérées par le ministère de l’éducation.

 

l’autre visage de la laïcité

 

Au fil des années, la laïcité a pris plusieurs visages. En même temps qu’elle s’est étendue dans les espaces publiques, elle a trouvé ses cibles. Il ne s’agit pas ici d’expliquer les raisons de ce ciblage pour le justifier ou s’en insurger.

Après la laïcité dans les écoles de la République, la laïcité s’étend dans les lieux publics tout en ciblant les femmes portant le voile avec la loi du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation du visage dans les lieux publics.

 

■ art. 1 de la loi du 11 octobre 2010 : Nul ne peut, dans l'espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage.

■ art. 2 de la loi du 11 octobre 2010 : Pour l'application de l'article 1er, l'espace public est constitué des voies publiques ainsi que des lieux ouverts au public ou affectés à un service public.

 

La contrainte, l’abus d’autorité et la violence sont punis par l’article 4.

art. 4 de la loi du 11 octobre 2010 : Le fait pour toute personne d'imposer à une ou plusieurs autres personnes de dissimuler leur visage par menace, violence, contrainte, abus d'autorité ou abus de pouvoir, en raison de leur sexe, est puni d'un an d'emprisonnement et de 30 000 € d'amende.

 

La proposition de la loi du 13 mai 2015 « visant à étendre l’obligation de neutralité aux structures privées en charge de la petite enfance et à assurer le respect du principe de laïcité » étend la neutralité aux structures de la petite enfance suite à l’affaire Baby Loup.

■ art. 1 de la proposition de la loi du 13 mai 2015 « Les établissements et services accueillant des enfants de moins de six ans gérés par une personne morale de droit public ou par une personne morale de droit privé chargée d’une mission de service public sont soumis à une obligation de neutralité en matière religieuse.

 

la laïcité de l’Etat : la constitution de 1958

La première définition de la laïcité, celle de l'État, est posée par l'article 1er de la Constitution française de 1958 qui rappelle la séparation de l’Etat et des Eglises par cette formulation : « La France respecte toutes les croyances ». De nouveau le « respect » ne signifie pas que la France autorise la liberté religieuse mais qu’elle garantit le principe de neutralité de l’Etat.

La première définition de la laïcité, celle de l'État, est posée par l'article 1er de la Constitution française de 1958 qui rappelle la séparation de l’Etat et des Eglises par cette formulation : « La France respecte toutes les croyances ». De nouveau le « respect » ne signifie pas que la France autorise la liberté religieuse mais qu’elle garantit le principe de neutralité de l’Etat.

 

■ art. 1 de la constitution française du 4 octobre 1958 : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée.

La Constitution de 1958 favorise l'égal accès des femmes et des hommes aux fonctions électives, ainsi qu'aux responsabilités professionnelles et sociales. La laïcité va de pair avec l’égalité (devenue la mixité dans le langage courant), elle-même associée aux principes démocratiques.

 

*

La loi 1905 et la constitution de 1958 ont été rédigées sous l’impulsion des Lumières et des Libéraux qui croient en l’homme conscient/pensant, cela ne signifie pas qu’elles confondent la liberté raisonnée et la liberté religieuse. Nulle loi n’autorise ou ne garantit la liberté religieuse. L’Etat en revanche garantit la liberté de conscience et le libre exercice d’un culte. La liberté de conscience relève elle de l’éthique individuelle (loi 1905), quand la laïcité est un principe social (de laicus, commun) (constitution 1958) qui garantit l’égalité. Ainsi c’est au nom de la laïcité d’Etat/égalité qu’un citoyen peut faire valoir ses droits (constitution 1958), mais c’est au nom de la loi de 1905 que l’on peut ou pourrait interdire des associations ou fermé des lieux de culte qui dérogent à « l'intérêt de l'ordre public » (art. 1 de la loi de 1905).

 

*https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000508749

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18 juillet 2016 1 18 /07 /juillet /2016 10:00
Mythologies 2

 

Je viens de créer un nouvel ouvroir Mythologies 2 dédié à l'interprétation des mythes contemporains : l'homme providentiel, le string, le hamburger... que j'alimenterai au fil de l'eau.

 

http://milicentherve.wixsite.com/mythologies-2

 

 

 

 

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29 juin 2016 3 29 /06 /juin /2016 06:40
Référendum et vote populiste : les convulsions de la démocratie participative

On se gausse depuis plusieurs années de la faillite du système institutionnel quand on ne se réjouit pas du déclin des partis politiques traditionnels, avec l’idée que la vox populi est seule capable d’arbitrer. Rien que ces deux dernières années, depuis le mouvement des Indignés en Espagne jusqu'à la dernière consultation référendaire au Royaume-Uni en juin 2016, les peuples européens ont eu la possibilité de s’exprimer. Et pourtant, un premier constat s’impose : le vote du peuple est convulsif et irrationnel.

 

Dans cet entre-deux dans lequel semblent s’enfoncer les nations européennes en attente de stabilité politique, les mouvements populistes et radicaux sont revenus en force avec leur hymne isolationniste et xénophobe.

En Espagne, malgré la progression du parti Podemos, le peuple se rend compte en juin 2016 du caractère intransigeant d’un parti radical qui prétend accéder au pouvoir sans en avoir la capacité : ni l’expérience, ni la volonté de fédérer un pays. Pour Le Monde, puisque « l’Espagne a besoin d’être gouvernée », le peuple s’est tourné vers le parti capable d’apporter des compromis.

En Grèce, la coalition de la gauche radicale et des Grecs indépendants gagne les élections nationales en janvier 2015 ; elle ne gouvernera que 6 mois, le temps des négociations avec l’Europe. Alexis Tsipras, dont on a vu la rapide reconversion, a constaté que l’exercice du pouvoir appelle à des responsabilités et à des consensus que les radicaux préfèrent ne pas envisager pour se draper dans un vêtement d’opposant systématique. C’est sans doute ce même constat d’échec que feront bientôt les électeurs de Rome et Turin qui ont élu deux candidates anti-establishment du Mouvement 5 étoiles, lesquelles se sont bien gardées de proposer un projet politique.

Les deux derniers référendum au Royaume-Uni et dans la Loire-Atlantique sont également des cas d’école. Au Royaume-Uni, dès le lendemain du référendum se prononçant pour le Brexit, plus de 3 millions d’internautes signent la pétition lancée par « Oliver Healey, partisan d'un parti de droite britannique ». En contestant leur propre vote, c’est leur geste aléatoire, pour ne pas dire dénué de réflexion, que les citoyens britanniques sont en train de pointer du doigt.

En Loire-Atlantique, les résultats du référendum se prononçant pour la construction de l’aéroport de NDD sont contestés par les anarco-zadiste. Les écologistes eux-mêmes, pourtant si fervents défenseurs de la démocratie participative, en viennent à accuser l’irrationalité du vote qui « ne légitime pas le projet ». Sans craindre les excès de langage, le sénateur Ronan Dantec (EELV) déclare que « c’est de la fausse démocratie participative qui exacerbe les tensions. On se retrouve dans la même situation de blocage qu’avant ». En vérité, ne reconnaît-il pas que le peuple n’est pas suffisamment mature pour exercer son pouvoir ?

L’opposition jusqu’au-boutiste qui ne tient compte d’aucune voix opposante, pas même celle du peuple majoritaire (>50% des voix), ajoutée à une violente contestation tout azimut de la part des zadistes, de la gauche radicale et de certains syndicats ouvriers (loi travail), également ajoutée à un déni caractérisé de ceux qui prônaient hier la démocratie participative – mais en criant aujourd’hui au faux référendum – montre que la démocratie participative bat de l’aile partout en Europe, puisque la vox populi est contredite par les extrémistes, voire par le peuple lui-même sitôt après s’être exprimé.

Ces exemples montrent que le peuple – dans sa tyrannie convulsive – n’est pas prêt à penser l’intérêt commun, ni capable de se substituer aux représentants du peuple, élus justement pour dépasser les clivages.

 

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21 décembre 2015 1 21 /12 /décembre /2015 15:45

Portrait d'une intellectuelle pragmatique
 

"Ses habits avaient été réalisés dans une étoffe minutieusement ouvragée et indesctructible : elle me révéla par la suite qu'elle les avait tissés de ses propres mains... mais des bruts avaient déchiré ce vêtement."
Boèce, Consolation...

 


Avancer en dansant

Une pointe de pied dans le monde académique, une autre dans le monde économique, je suis une de ces docteurs LPC, autrement dit j'appartiens au lot de 11% de matières grises laissées pour compte, en tous les cas mal employées. "Pas-assez-académique" au regard de l'université (comprenez : une touche-à-tout qui ne défend aucune chapelle) et "atypique" (comprenez : indépendante, libre, insaisissable, dilettante) au regard d'une société normalisante, je défends la culture de la diversité : diversité des savoirs, des approches, des parcours professionnels, des identités.
 
L'homme n'est pas un sujet univoque, - finissons-en avec cette notion de posture qui pose l'homme-adaptable dans un milieu immuable ! - ; il est un être se construisant au gré de rencontres : avec des textes, avec des auteurs, avec ses contemporains, à la mesure de ses curiosités et intérêts, à la mesure également des injonctions qu'il se donne.

 


Ni tailleur, ni tablier

 

A l'heure où les  discours louent la nécessité de la pluridisciplinarité, diversité, multipolarité, mixité..., autant de mots auxquels on ajoute commodément un qualificatif qui se veut éclairant : scientifiques, culturelles... mais aussi des mots comme créativité, flexibilité, je m'étonne qu'on en soit encore à préférer, dans la pratique, le modèle normé de l'individu univoque pour fermer la porte à la nouveauté. L'Innovation, elle, elle chiffonne au lieu de "faire des chiffons" ; elle tisse des liens au lieu de "filer la quenouille" ; elle innove en matière de projets d'organisation et non en matière de recettes culinaires ; elle manage des équipes non plus ses enfants. Elle n'a jamais voulu endosser le tablier de la bonne ménagère, ni apprêter le tailleur de l'executive woman, car elle préfère comme Celle qui rend visite à Boèce s'habiller d'un vêtement tissé de ses propres mains.

 

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Published by RMH - dans Qui suis-je
20 décembre 2015 7 20 /12 /décembre /2015 08:25

 

I. Articles sur AgoraVox

 

"France : Quel projet politique ?"    http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/france-de-demain-quel-projet-175556

 

"Elections 2017 : pourquoi ni Sarkozy, ni Hollande, ni Juppé ne sera élu. La recette d’une présidentielle"     http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/elections-2017-pourquoi-ni-sarkozy-160247

 

"L'Europe allemande : un atout français"      http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/l-europe-allemande-un-atout-154445  

 

"Vous avez dit radicalisme ? ou le nouveau visage du féminisme"   http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/vous-avez-dit-radicalisme-ou-le-122586

 

II. Articles au Journal des Grandes Ecoles, éditions des Cassines

 

Economie sociale

"L’avenir est aux entreprises apprenantes"

"Le stress en entreprise : mythe ou réalité ?"

"L’économique, le social et l'entreprise citoyenne : un nouveau pacte d'association"

"Travail, organisation et modélisation"

"La 'flexicurité de l'emploi' : une 'mobilité protégée'"

"Le désir, un moteur du collectif"

"Stratégies discursives_volet 1"  "Stratégies discursives_volet 2"

"Le tutoiement en entreprise remis en cause"

"Les enjeux de la mixité" (dossier)

"Les femmes dans les métiers de la recherche"

"L'insertion des jeunes diplômés grandes écoles : la dynamique se confirme"

 

Ecologie et développement durable

"De Huxley à Ellul_deux penseurs de l'écologie politique"

"Développement soutenable et décroissance" -

"Le 'grenelle environnement' avec Anne Gentil"

"Ethique et économie : une dialectique à construire"

 

Débats d’idées et de société

"Les think tanks : légitimité, influence et amateurisme"

"Rétrospective avec Pascal Blanchard sur 4 siècles d'histoire coloniale"

"Catherine Picard : Les sectes à l’assaut des associations"

"Geneviève Fraisse : ‘On ne fabrique pas d’égalité sans contraintes’"

"Incertain sexe : hétérogénéité et transgenre"

"Rose-Marie Lagrave : Construction sociale des sexualités »

"Sciences humaines : Le nouveau défi"

"Le mythe du graal : Entre légende et culture"

"Avoir peur de Big Brother ?"

"Histoire de la passion amoureuse de Sappho à Freud"

"Impossible tolérance""Humanisme : grandeur et limites"​

"Nietzsche : anti-moderne"

"Anatomie du mélancolique"

"Petit traité de philosophie libertine"

"Nicolas Poussin, peintre de l'ailleurs" -

"L’estampe japonaise : le marché de l'ukiyo-e"

"Claude Verlinde : le réalisme fantastique dans le marché de l’art"

"Regards sur 'Le jardin des délices'"

"Le char des tombes celtes"

"Les trésors de la bibliothèque du Palais Bourbon"

"Entretien avec Esther Benbassa"

"Perrette Rey, “ Il y a des vocations auxquelles il faut obéir. ”"

 

Critiques littéraires

"Simone Veil : entre confession et critique"

"Marguerite Duras : 'Cahiers de la guerre'"

 "Bill Clinton, apôtre du don" 

 


III. Articles en partenariat avec CVfirst éditions
 

"La mobilité professionnelle : 3, 2, 1 Partez-vous ?"  http://www.precisdemarketingemploi.fr/mobilite-geographique-partez-vous

 
"Comment briser le plafond de verre ?" 

 

 

IV. "Voltaire philosophe" in Cahiers Voltaire n°3, 2004, pp.168-172

 

Extrait : "Voltaire, un philosophe de génie mélancolique"

 

 

Lien au sommaire des Cahiers Voltaire n° 3 :

http://c18.net/c18/c18_pub.php?nom=pub_cv3

 

 

 

 

 

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18 décembre 2015 5 18 /12 /décembre /2015 13:35

Article édité sur Agoravox

Introduction : Les dernières élections régionales ont montré l’existence d’un front républicain majoritaire qui, on peut le supposer, a voulu rappeler les valeurs françaises de liberté, égalité et fraternité. Dans le même temps, et ce sont quelques-uns des paradoxes des électeurs français, les votes au premier et au deuxième tours se sont reportés vers d’une part des candidats qui prônent ou appliquent une politique sécuritaire favorisant « l’état d’urgence » et même une situation perpétuelle de crise et de guerre (Jean-Yves Le Drian dans la région Bretagne, Christian Estrosi en PACA, Laurent Wauquiez dans la région Auvergne-Rhône-Alpes), d’autre part vers des amateurs dans la gouvernance des régions (les candidats du FN). C’est poser directement la question que nul - média ou homme politique - n’ose poser de peur d’offenser l’électorat, de peur de commettre une erreur de communication et de rentrer dans un débat que la situation de crise honnit : qu’attend et qu’espère le peuple français dans sa majorité ? ces Français qui majoritairement plébiscitent la guerre (un sondage de l'Ifop et du JDD révélait que 56% des Français se déclarent en faveur d'une intervention militaire terrestre en Syrie, Atlantico, 14 septembre), et en même temps vont déposer des fleurs sur des autels improvisés (le Bataclan, La République) en priant pour l’union… disent-ils.

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13 février 2015 5 13 /02 /février /2015 07:45

Reproduction d'un article diffusé sur atheisme.org

"Dans une vidéo glaçante diffusée le 3 février 2015 ("Faites exploser la France, acte II"), des menaces très explicites sont formulées contre les "mécréants", et la France de façon plus générale.

La vidéo de quinze minutes débute avec des versets coraniques comme justification religieuse incontestable, et en préambule à la déclaration d'un djihadiste français, une voix affirme que "la démocratie est une religion qui divinise l'homme". L'adhésion à deux religions étant interdite, la démocratie doit donc être abandonnée au profit de l'islam. Puis vient la déclaration de guerre. Dans un terrain aride, sept personnes cagoulées dont, apparemment, une femme, sont armées de kalachnikovs et posent dans une composition très martiale avec un long sabre planté dans le sol. L'orateur déverse un déluge de haine et d'appels au meurtre contre "les mécréants et les hypocrites" ("un lourd châtiment va tomber dans ce pays", c'est-à-dire la France), après l'éloge des auteurs des attentats islamiques commis en France à Joué-les-Tours, Charlie Hebdo, Montrouge et au magasin juif de la Porte de Vincennes à Paris. L'homme va droit au sujet avec un très direct "Tuez ! Tuez les !", à l'intention des combattants potentiels sur le sol français. Plus précis, il déclare que "vous avez plus de quatre millions de cibles maintenant parmi ceux qui soutiennent le kufr et ceux qui s'en revendiquent clairement" (kufr = incroyant ou monde de l'incroyance), en référence aux nombre de manifestants du 11 janvier 2015. Les antifas de salon et quelques traîtres à la cause antireligieuse, restés chez eux ce jour-là, ne risquent donc rien et peuvent continuer à regarder ailleurs. Policiers et militaires sont aussi parmi les cibles. Vient ensuite le couplet antisémite avec "Hollande paillasson des Juifs", formule obligée dans ce genre de propagande. Enfin, le type se fait plus sanglant en s'adressant aux incroyants : - "vos corps pleins de sang aujourd'hui sont le prix de vos insultes à répétition envers l'islam" ; - "votre sang ne cessera de couler car nous avons chez vous des hommes prêts à sacrifier leur âme, prêts à donner de leur sang jusqu'à ce que leur seigneur soit satisfait d'eux" ; - en brandissant son sabre, il menace : "vos têtes vont tomber", et conclut en clamant que la lutte "ne connaîtra pas de fin tant que vos têtes seront encore accrochées à vos corps". Oui, relisez bien ça, lentement. Comme voir le visage de la barbarie est un préalable jamais inutile pour mieux la combattre, la vidéo peut être consultée à cette adresse : https://sendvid.com/5yihgwh9. Mais on peut aussi considérer, à l'instar de faux antifas et de pseudo défenseurs de la laïcité, que tout cela n'a rien à voir avec la religion, qu'il ne faut pas stigmatiser ces jeunes gens et qu'en parler autant est faire le jeu du Front National. Au contraire, c'est cette couardise qui, incidemment, sert l'extrême droite.

La vidéo encore disponible le 9 février vers 22 h n'était plus accessible le 10 vers 13 h. Dommage car la connaissance des références coraniques, sur lesquelles se fondent les barbares, n'est pas superflue pour quiconque préfère clamer que cela-n'a-rien-à-voir-avec-la-religion. "

Source : http://atheisme.org/video-djihadiste-francais.html

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Published by RMH - dans Décryptage